*** Bio **

Juin 2015 – Steve, batteur chanteur des Crétacés, tape le bœuf avec Lenny, guitariste de Kanjera qui fait tourner des riffs  blues, stoner sur des rythmes punk rock. Le duo rencontre un troisième habitué de l’Espace Musique de Saint Eutrope à Saintes : Denis, contrebassiste, les rejoint avec des idées rock’n’roll plein la tête… La sauce prend, le style devient punk rock’n ‘roll. Côté bières, à l’époque tout se passe au Kraken Bar  de Saintes ; derrière le comptoir…une chanteuse piquée de rock (‘n’roll) :  la belle Meighan ne tarde pas à s’assoir à la table des trois zicos. Sur le mur du Kraken Bar, le grand poulpe fait de l’oeil aux quatre compères…le groupe s’appellera Octopus king – Dans l’objectif de Laurent Jahier, les poulpes font leur premier shoot  dans le décor improbable du shop Vintage Road à Sainte Gemme (17).

Les premières répètes à quatre ont lieu à l’automne 2015 . Magie de la rencontre, çà sonne un max ! Les premiers textes, tout va très vite, les premiers concerts s’organisent autour de Saintes : le public de l’Ogre Rouge ou de La Graine d’orge est au rendez vous.

En 2016, le groupe s’entoure de précieux collaborateurs : Morgan Barba (arkt.com) dessine la mascotte octopus et grâce à Ben Giberteau la première démo 5 titres voit le jour. L’identité musicale apparaît sur des compos comme A16 motorway ; l’énergie d’Octopus king est communicative, le public bordelais se laisse aussi prendre dans les tentacules du poulpe.
Le groupe perd un de ses membres fondateurs en plein élan ; trop accaparé par ses autres projets Lenny est remplacé par Sam à la guitare ; c’est l’occasion de travailler un set plus long.

2017 marque un tournant, avec ce nouveau line up, Octopus king enchaîne une série de dates dans les bars d’ici et d’ailleurs…Narbonne, Bordeaux, Sarlat, Chalonne sur Loire, Limoges, Poitiers, Nantes…le groupe gagne en complicité, les octopodes sont à l’aise sur scène ; ils prennent du plaisir et par la même occasion en donnent à ceux qui les écoutent.

Les projets ne manquent pas. Devant la caméra de Seb Cassen (one again prod) se tournent trois premiers clips ; les « black box sessions » donnent une plus grande visibilité du groupe sur internet.

A l’automne 2017, Octopus king organise (par le biais de son support associatif Les sales teints branques ) un « Etrange halloween d’Octopus » , une première édition dans une chapelle gothique avec les voisins de Crazy dolls and the bollocks.

Janvier 2018 est consacré à l’enregistrement du premier album « Kraken escape » autoproduit…100 % compos textes et musiques , 100 % kraken’roll ! L’ univers musical du groupe se précise ; « Keep on », « Go faster » sont les dernières compos les plus abouties.Les quatre poulpes posent deux fois leur valises dans le Finistère en Bretonnie et le public des premiers festivals fait au groupe un accueil chaleureux.

Mais l’année 2018 est riche aussi d’une deuxième édition de l« Etrange halloween d’Octopus » , une soirée très rock’n’roll avec Octopus king, 6Feet down et Washington dead cats.

2019 a démarré au Ferrailleur en ouverture de Mad Sin. En attendant les prochains festivals du printemps, Octopus king prépare quatre tout chauds et tout nouveaux titres.

Keep on…